Que vous est-il donc arrivé ?
Est-ce moi qui, depuis, ai fréquenté tant d'hommes aimables, intelligents et cultivés que vous en devenez négligeable, alors que vous aviez brillé d'une aura divine dans le désert où je vivais alors ?
Ou bien est-ce l'alcool dans lequel votre neurones ont continué de mariner, sept années de plus depuis que nous nous sommes connus, qui fait de tels dégâts ?
La porte est fermée ; mais peut-être me fallait-il vous revoir ainsi déchu pour enfin raconter, savoir que véritablement vous n'existez plus tel que je vous ai connu pour pouvoir renouer avec ces souvenirs, pour me replonger dans ce que j'ai su de vous, vous à qui je renonce par nécessité, vous dont je fais mon deuil, vous qui avez disparu derrière le fantôme et la caricature de vous, vous qui êtes à jamais hors d'atteinte à présent.
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